Carpoolers > 1.01 : Pilot

Publié le par Adrien

carpoolers-101.jpgNouveau pilot critiqué, qui arrive comme les autres, comme il le peut. J'essaye d'espacer les critiques de pilot, pour pouvoir dénicher des perles à intervalles réguliers, comme je l'ai fait avec Samantha Who ?, et pour pouvoir évoluer différemment dans les séries que je regarde, puisque les projets d'intégrale à côté sont déjà volumineux, surtout qu'après avoir acheter (enfin !) l'intégrale de Friends en DVD pour une bouchée de pain (c'est bien pour ça que je l'ai acheté, enfin ce n'était pas non plus donné mais quand on sait qu'il y a presque 150 euros de différence avec le prix d'origine, cette promo valait le coup), je me tates à critiquer l'intégrale ici d'une façon plus constructive avec des critiques de plusieurs épisodes en même temps, ce qui permet de voir les trames avançaient d'une manière différente, comme je le ferai certainement pour House, saison 2.

Mais revenons à cette nouvelle série, Carpoolers, une sitcom avec un spitch pas désagréable et qui m'a permis d'esquisser quelques sourires. L'ambiance, plombant un peu trop le tout et le manque de rythme ne me feront pas suivre cette série par la suite, et c'est bien dommage, mais je crois que ce n'était pas ce genre de séries qu'il me fallait, puisque je suivrais déjà Samantha Who ?.


Le spitch :
Quatres hommes de différents milieux organisent un covoiturage, moins par esprit écologique que pour se retrouver entre amis quelques heures par jour. Laird, le playboy tout juste divorcé, Aubrey, le timide, Gracen, l'esprit traditionel de la bande et Dougie, jeune marié, discutent ainsi de leurs vies au travail et chez eux, vraiment sincères durant ces quelques instants. (Merci à Allociné pour m'avoir évité d'en écrire autant, vu la flemme monumentale qui m'atteint ce soir).

Tout le pilot est basé sur ces quatres hommes, et tous les quatres, bien que très peu fut-fut, paraissent à priori très sympathique, et la pitié qu'on éprouve pour eux ne dépassent pas la limite symbolique et au final, ils sont très bien dosés. Pas de gros délires chez eux, mais des répliques drôles, mais pas hilarantes. Palme au fils de Gracen, hilarant dans son rôle de branleur professionnel.

L'autre avantage de ce pilot, c'est de ne pas avoir à entendre les rires enregistrements qui abordent habituellement et débilement les sitcoms et qui ne les avantagent souvent pas (à part peut-être dans Friends où la V.O nous fait apercevoir des rires un peu inhabituels ce qui m'a parfois lancé dans des fous rires incontrôlables). 

Mais voilà, je trouve qu'on ne c'est pas forcément assez éloigné du format sitcom, puisque les décors sont aussi fades que dans celles-ci. L'ambiance est parfois lourde, et les passages dans la voiture font apercevoir des choses pas très recherchées. C'est vraiment dommage. L'ambiance plombe l'épisode, et les couleurs trop fades ne donnent pas forcément envie d'en voir plus. Je suis plus un adepte des séries bien colorées.

Bilan : Une sitcom sans rires enregistrés bien sympathique. Les héros semblent intéréssant, mais l'ambiance et les décors plombent un peu le tout, dommage car y avait deux trois bons gags. Ni plus, ni moins. J'ai cependant moins aimé que The Big Bang Theory et Samantha Who ?, les deux autres sitcoms visionnées cette rentrée.

Publié dans Séries TV

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